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Rolls-Royce Camargue voitures de collection à acheter
La Rolls-Royce Camargue, coupé haut de gamme produit de 1975 à 1986, séduit par son design signé Pininfarina et sa mécanique V8 de 6,75 litres, mariant distinction anglaise et innovation italienne. Chaque exemplaire reflète un haut niveau de personnalisation et une rareté prononcée.
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1984 | Rolls-Royce Camargue
1976 | Rolls-Royce Camargue
Rolls-Royce - Camarque - 1976
1976 | Rolls-Royce Camargue
Rolls-Royce - Camarque - 1976
1982 | Rolls-Royce Camargue
1981 | Rolls-Royce Camargue
1981 Rolls-Royce Camargue
1977 | Rolls-Royce Camargue
1977 Rolls-Royce Camargue
1981 | Rolls-Royce Camargue
Rolls-Royce Camargue
1985 | Rolls-Royce Camargue
Low Miles - Rare Roller
1980 | Rolls-Royce Camargue
No Reserve - Needs Recommission
1986 | Rolls-Royce Camargue
Rare Rolls - Low Miles
1985 | Rolls-Royce Camargue
Very Fine Example - Low Miles
1985 | Rolls-Royce Camargue
Rare & Desirable British Legend - Recommission Needed
1975 | Rolls-Royce Camargue
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Créer l'annonceHistoire de la Rolls-Royce Camargue
La Rolls-Royce Camargue occupe une place singulière dans l’histoire de la marque britannique : il s’agit du premier modèle d’après-guerre dessiné à l’extérieur du bureau d’étude traditionnel de Rolls-Royce, confié à Pininfarina sous la direction de Paolo Martin. Inspirée des paysages du sud de la France, elle entre en production en 1975 et s’inscrit à part dans la gamme comme coupé de très grand luxe, capitalisant sur un châssis et des éléments mécaniques issus de la Silver Shadow et de la Corniche. La Camargue s’est distinguée dès ses débuts par sa ligne cubique et épurée, rompant avec les codes à tendance ronde des Rolls-Royce antérieures.
Historique du modèle et évolutions
La Camargue naît d’un contexte de renouvellement du haut de gamme Rolls-Royce et fut pensée initialement comme successeur du Corniche Saloon, même si les deux coexistèrent plusieurs années. Celle-ci a connu quelques évolutions techniques durant son cycle de production : en 1977, elle adopte la direction à crémaillère de la Silver Shadow II, et dès 1980, la suspension arrière indépendante dérivée de la Silver Spirit. Cependant, il n’existe pas de générations bien tranchées, la Camargue étant restée exclusive et faiblement produite (531 exemplaires), sans réel héritier direct après l’arrêt de la fabrication en 1986.
Particularités et statistiques de la Rolls-Royce Camargue
La Camargue se démarque par une série de caractéristiques techniques rares au moment de sa sortie. Son système de climatisation multi-zones, novateur pour l’époque, permettait d’ajuster indépendamment la température côté conducteur et passager. Autre exclusivité : le sélecteur de boîte automatique assisté et le haut niveau de personnalisation offert, allant jusqu’aux choix de couleurs et matériaux de l’intérieur, ce qui fait de chaque Camargue un modèle pratiquement unique. Son dessin signé Pininfarina lui confère une architecture visuelle exclusive, inspirée par la berline italienne de luxe et inédite chez Rolls-Royce jusqu’alors.
Données techniques de la Rolls-Royce Camargue
Éditions spéciales et versions rares
La Camargue n’a pas connu de variantes ou séries spéciales officielles, chaque exemplaire étant cependant une production quasi sur-mesure selon les spécifications du client, rendant certaines configurations de couleurs ou d’équipements particulièrement recherchées sur le marché actuel.
Points faibles et conseils d’entretien
L’exclusivité de la Camargue a un revers : l’attention demandée à l’entretien. Les millésimes des premières années (surtout années 1970) souffrent de fluctuations notables de la qualité de fabrication (problèmes d’assemblage, fiabilité de certains composants électriques et plastiques). Le système de climatisation bi-zone présente souvent des soucis de réglage, tandis que certaines pièces de suspension et d’accastillage peuvent être complexes à restaurer ou onéreuses à trouver, du fait de leur rareté. Un suivi strict par des spécialistes Rolls-Royce est recommandé. Pensez aussi à examiner la condition de la mécanique V8, des supports moteur (au vieillissement parfois problématique) et du circuit de carburant, sans oublier le coût d’usage élevé lié à la consommation.
Motorisation, conduite et comportement dynamique
La Camargue n’a pas ici d’ambition sportive – son V8 privilégie la souplesse et le silence, sa suspension absorbe avec panache les aspérités, tandis que son poids (proche de 2,4 tonnes) se ressent dans les enchaînements rapides. La boîte automatique à 3 rapports vient de General Motors, gage de douceur. L’agilité reste relative mais le confort prime, même si à allure soutenue, le maintien de caisse ou l’insonorisation ne rivalisent pas toujours avec les standards Mercedes contemporains. Les freins et la direction ont gagné en efficacité après 1977, grâce à la direction à crémaillère. A signaler : tous les exemplaires bénéficient du même V8 6,75 l et de la boîte automatique GM ; certaines années postérieures à 1977 sont à privilégier pour les améliorations techniques apportées à la suspension et la direction.
Intérieur, confort, design extérieur et accessoires
Le trait de Paolo Martin chez Pininfarina est reconnaissable : carrosserie épurée, lignes trapézoïdales, double optique avant ronde, silhouette anguleuse inédite chez Rolls-Royce. L’habitacle s’offre des selleries en cuir noble, boiseries luxueuses, et modules de commandes poussés (climatisation sophistiquée, équipements électriques variés). Les choix de combinaisons intérieures étaient quasiment illimités à l’usine, d’où des configurations parfois très originales – tel un intérieur bleu associé à une teinte de carrosserie classique. On note aussi la présence d’éléments spécifiques comme la calandre abaissée et le profil du pavillon allongé. Les accessoires installés d’usine vont du système hi-fi aux commandes de sièges électriques, et certains exemplaires comportaient des finitions exclusives sur demande du propriétaire.
Autres informations utiles
La rareté des pièces et le faible nombre d’exemplaires (534 produits) impliquent un marché fermé et des coûts de restauration élevés. L’historique du véhicule (restauration, entretien, originalité des éléments de finition) constitue un critère essentiel lors d’un achat.
Résumé: Rolls-Royce Camargue pour collectionneurs exigeants
La Rolls-Royce Camargue reste aujourd’hui un modèle singulier du patrimoine automobile britannique, fruit d’une collaboration inédite entre l’Angleterre et l’Italie. Bien que sa mécanique soit robuste, l’entretien demande soin et attention, la recherche de pièces parfois laborieuse. Chaque Camargue est un témoin de personnalisation poussée, appréciée des passionnés avertis en quête d’un luxe distinctif et d’une silhouette désormais sans équivalent sur la route.