Ferrari 512 voitures de collection à acheter
La Ferrari 512 désigne une lignée de GT et de prototypes sportifs équipés de puissants moteurs V12, ayant marqué l’ingénierie italienne des années 1970 aux années 1990. Que ce soit la redoutable 512 S de course, la 512 BB «Berlinetta Boxer» à moteur central ou la spectaculaire 512 TR et la 512 M, chaque modèle allie innovations technologiques et design signé Pininfarina. Découvrez ci-dessous l’histoire, les versions et les spécificités de ces Ferrari éminemment exclusives.
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1992 | Ferrari 512 TR
512 TR


1983 | Ferrari 512 BBi
Een in nieuwstaat verkerende Ferrari 512 BBI Zegna met het leer nog gedeeltelijk in het plastic, Ferrari gecertificeerd en lage tellerstand.

1979 | Ferrari 512 BB
One of only 20 made BB Carb. in Grigio Met. File history from new.

1994 | Ferrari 512 TR
Ferrari 512 TR - ABS - dt .Fzg. - Scheckheft

1980 | Ferrari 512 BB
Ferrari BB512 carburatori

1984 | Ferrari 512 BBi
Ferrari BB512i

1976 | Ferrari 512 BB
The third production 512 BB

1992 | Ferrari 512 TR
1992 Ferrari 512 TR '92

1976 | Ferrari 512 BB
Competizione Stradale - Bacchelli & Villa -

1996 | Ferrari 512 TR
Ferrari 512 TR

1993 | Ferrari 512 TR
Ferrari 512 TR | Historie Bekend | Europese Auto | 1993

1983 | Ferrari 512 BBi
Ferrari 512 BBi European version, Ordered new and supplied by the Belgian Ferrari importer "Garage Francorchamps", Fabulous color combination Rosso Ferrari 300 with red leather "Daytona" seats, Cherished for a long time in a extensive Ferrari collection, The final variant of the Berlinetta Boxer model, Complete with the original 512 BBi pouch and handbook
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1992 | Ferrari 512 TR
1994 | Ferrari 512 M
FERRARI F512 M - OMOLOGATA ASI TARGA ORO AI MASSIMI LIVELLI – UNA DI SOLI 500 ESEMPLARI – RARISSIMA – ECCELSA (1994)
Histoire et origine de la Ferrari 512
La Ferrari 512 voit le jour dans différents contextes : dès la 512 S de 1969, pensée pour affronter la Porsche 917 dans les courses d’endurance, jusqu’aux modèles routiers qui incarneront la supercar italienne durant la décennie suivante. Le passage aux années 1980 marque la naissance de la 512 BB, première Berlinetta Boxer de la marque, suivie par l’évolution BBi à injection, puis l’esthétique révolutionnaire Testarossa qui se métamorphosera en 512 TR et 512 M, en repoussant toujours les standards de puissance, d’agrément mécanique et de tenue de route. La carrière de la 512 s’étend donc des circuits vers la route, tout en gardant un ADN axé sur la performance et l’innovation propre à Maranello.
Modellgeschichte: évolutions de la 512
La 512 S (1969–1970) est à l’origine un prototype de compétition avec V12 5,0L, suivi en 1970 par la 512 M (« Modificata »), optimisée pour la piste. Ensuite, la 512 BB (1976–1981) transpose ce savoir-faire sur la route : moteur V12 à plat (« Boxer ») en position centrale, 340 ch, carrosserie Pininfarina. La 512 BBi (1981–1984) introduit l’injection électronique et des adaptations pour les marchés internationaux et les normes d’émission. Le flambeau est repris par la Testarossa, qui sera profondément revue : la 512 TR (1991–1994) offre jusqu’à 434 ch et un comportement routier modernisé, puis la 512 M (1994–1996), ultime évolution du concept avec seulement 501 unités, dernières à recevoir le mythique 12 cylindres à plat.
Particularités et données remarquables de la Ferrari 512
La gamme Ferrari 512 couvre des prototypes de course et des GT de route exceptionnelles : le moteur V12 5 litres (Boxer ou en V), la position centrale, la structure allégée utilisant l’aluminium ou la fibre de verre, une carrosserie dessinée par Pininfarina, et un design immédiatement reconnaissable (phares escamotables, larges prises d’air latérales, silhouette effilée). Les versions 512 TR et 512 M atteignent, pour les dernières générations, plus de 440 ch, une vitesse de pointe supérieure à 310 km/h, et une configuration exclusive strictement deux places à propulsion. Les modèles, du prototype 512 S au coupé 512 M, sont recherchés pour leur technologie avancée, leur rareté (chaque série étant produite en nombre limité), et leur héritage dans le sport automobile.
Données techniques
Séries spéciales et variantes de collection
Plusieurs éditions rares jalonnent la lignée : les prototypes 512 S et M (moins de 30 unités au total), les Ferrari 512 BB/BBi routières (1936 exemplaires), la 512 TR produite à 2261 unités, et enfin la 512 M (501 exemplaires), ultime évolution du concept Boxer. Citons aussi des exemplaires uniques ou des prototypes Pininfarina tels que la 512S Modulo et la 512S Berlinetta Speciale. Sur piste comme sur route, chaque sous-série fait figure de collector grâce à ses faibles volumes et à ses choix techniques radicaux.
Entretien, points de vigilance et fiabilité
La technologie des Ferrari 512 exige un suivi méticuleux, en particulier pour le moteur 12 cylindres à plat : contrôle intégral des courroies de distribution, inspections matérialisées par des interventions périodiques (souvent tous les 24-36 mois), révisions du système d’injection pour les BBi et adaptations électroniques sur les TR/M. La carrosserie en aluminium exige une protection contre la corrosion, l’hydraulique des freins et l’embrayage demandent une surveillance régulière. La disponibilité des pièces est globalement assurée via les circuits spécialisés Ferrari, mais le recours à un atelier reconnu et une traçabilité sont conseillés.
Motorisations et sensations de conduite
Chaque 512 livre une expérience sans équivalent : le V12 à plat procure une puissance qui progresse linéairement jusqu’aux hauts régimes — de 340 ch sur la BB/BBi à 440 ch sur la 512 M — avec une sonorité mécanique directement issue de la course. Les boîtes 5 rapports manuelles, bien étagées, favorisent l’accélération (0 – 100 km/h sous 5 secondes à partir de la 512 TR) et une vitesse de pointe qui rivalise avec les supercars de chaque époque. Le châssis, abaissé et élargi au fil des générations, rend la 512 docile à haute vitesse mais exigeante sur circuit, tandis que la direction et le train arrière privilégient la précision à l’agilité totale. - Ferrari 512 BB/BBi: moteur 4,9 L Boxer, environ 340 ch, 0–100 km/h en 5,7 s
- Ferrari 512 TR: V12 4,9 L, 422–434 ch, 0–100 km/h en 4,8–4,9 s, Vmax 307–314 km/h
- Ferrari 512 M: V12, 440 ch, Vmax jusqu’à 315 km/h
- Ferrari 512 S/M (course): V12, 550–620 ch, poids inférieur à 900 kg
Design, intérieur et finitions
La Ferrari 512 conjugue l'agressivité d'un profil effilé à la signature stylistique Pininfarina, reconnaissable (ailes larges, phares rétractables sur BB/TR, entrées d’air latérales sur Testarossa/TR/M, proportions basses). Les matériaux nobles abondent : cuir pleine fleur pour les sièges sport, aluminium apparent sur la 512 M, fibre de verre ou composite sur les panneaux de carrosserie. Détail marquant : tableau de bord à instrumentation analogique Ferrari pur jus, console centrale séparée, touches ergonomiques ajoutées avec la TR, et siège baquet option carbone sur la 512 M. Les TR/M reçoivent aussi des jantes spécifiques de 18 pouces et des couleurs spéciales, la palette Rosso Corsa dominant les exemplaires livrés.
Autres informations utiles
Les Ferrari 512 ont traversé la pop culture et le sport automobile : on les retrouve aussi bien à l’écran (films, clip musicaux, jeux vidéo comme Out Run) que dans les compétitions historiques (Le Mans Classic). La 512 M clôt la lignée Boxer chez Ferrari, préparant le passage aux V12 longitudinaux modernes. Plusieurs exemplaires sont homologués sur routes européennes, tandis que les versions compétition restent prisées dans les grands rassemblements d’anciennes.
Résumé de la gamme Ferrari 512
La série Ferrari 512 se distingue par une diversité unique : voitures de compétition surpuissantes (512 S/M), GT de route (BB, BBi), et supercars emblématiques (512 TR, M), toutes unies par la recherche de performance, une signature sonore et visuelle propres à Maranello, et une exclusivité renforcée par de petites séries. La technologie embarquée et la rareté des modèles en font des véhicules à la fois fascinants à collectionner et exigeants à entretenir.












