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Bugatti Type 40 voitures anciennes à vendre

La Bugatti Type 40, produite de 1926 à 1930, incarne l'évolution technique des années 1920 avec son moteur 8 cylindres dérivé du Type 37 et sa carrosserie légère en aluminium. Sa conception innovante, son comportement routier typé et sa rareté témoignent du savoir-faire Bugatti. Découvrez ici tous les modèles disponibles.

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Image 1/50 de Bugatti Type 40 (1926)

1926 | Bugatti Type 40

1926 Bugatti Type 40

Prix sur demandeil y a 2 ans
🇬🇧
Concessionnaires
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Image 1/14 de Bugatti Type 40 (1927)
Mille Miglia

1927 | Bugatti Type 40

482 571 €il y a 7 ans
🇬🇧
Concessionnaires

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Histoire et contexte de la Bugatti Type 40

La Bugatti Type 40 marque une étape clé dans l’essor des moteurs 8 cylindres Bugatti. Ce modèle, lancé en 1926, s'inscrit dans la lignée des Type 30 et Type 38, illustrant la transition de la marque vers une production plus orientée route tout en capitalisant sur les acquis issus de la compétition. Les solutions techniques employées, telles que le recours aux freins commandés par câble — une avancée après les expériences de Bugatti avec l’hydraulique — témoignent d'une quête continue de performance et de fiabilité. Avec un empattement de 2 850 mm, la Type 40 se distingue aussi par ses trains roulants issus de la Type 23 « Brescia », ce qui lui confère un comportement très caractéristique pour l’époque.

Évolution de la gamme Type 40

La Type 40 s’appuie sur la plateforme initiée avec le Type 30, premier modèle Bugatti doté d’un moteur 8 cylindres et de quatre roues équipées de freins, qui inaugura une nouvelle ère pour la marque en 1922. Après le Type 30 et le Type 38, la Type 40 utilise un moteur issu du Type 37, mais adapté à une utilisation plus routière. Elle précède le Type 43 dans la hiérarchie Bugatti et partage l’ADN mécanique commun à la série 8 cylindres (utilisée également sur les modèles 44 et 49). La production du Type 40 a totalisé 830 exemplaires sur quatre ans, soulignant sa place singulière au sein de l’offre Bugatti de l’entre-deux-guerres.

Particularités de la Bugatti Type 40

La Type 40 propose une structure en aluminium, alliant légèreté et rigidité, propice à l’agilité du véhicule. Sous le capot, on retrouve un 8 cylindres en ligne de 1 496 cm³ couplé à une boîte manuelle quatre rapports et une transmission arrière. Les freins à tambour sur les quatre roues sont commandés par câbles, ce qui constitue un progrès technique pour l’époque. L’architecture de suspension – essieux rigides, ressorts semi-elliptiques à l’avant et quart-elliptiques inversés à l’arrière – tire son origine des solutions éprouvées sur les modèles de course, garantissant une tenue de route précise.

Données techniques de la Bugatti Type 40

Éditions spéciales et modèles de collection

La Type 40 a principalement existé sous la forme de torpédo, cabriolet et coupé, selon la demande des clients et le carrossier choisi. Il existe également une version Type 40A, dotée d’un moteur plus volumineux (1 627 cm³), produite en toute petite série autour de 1930. Ces véhicules, réalisés sur commande, se distinguent aujourd’hui par leur originalité et leur historique spécifique.

Points faibles et éléments à surveiller

Bien qu’aucune faiblesse chronique ne soit spécifiée dans les sources disponibles, il convient d’être vigilant sur l’état du châssis en aluminium et du système de freinage à câble, typique des années 1920. L’usure des ressorts à lames, le bon état du moteur huit cylindres (notamment l’alimentation et la lubrification) et l’absence de corrosion sont des critères déterminants pour évaluer un exemplaire.

Moteur, performances et comportement routier

Animée par un 8 cylindres de 1 496 cm³, la Type 40 développe une puissance parfaitement adaptée à son poids contenu grâce à sa structure légère en aluminium. Elle atteint une vitesse de pointe d’environ 120 km/h, une performance notable pour une voiture civile de cette époque. L’essieu rigide, associé à des ressorts ingénieusement disposés, offre une stabilité appréciable à vitesse élevée, tandis que la direction précise fait la réputation de Bugatti. La boîte manuelle à 4 rapports permet un passage de vitesse rapide, garantissant des reprises dynamiques pour le conducteur passionné. Les configurations torpédo sont particulièrement recherchées pour leur style léger et sportif, tandis que la version Type 40A séduit les connaisseurs pour sa rareté et sa cylindrée accrue.

Design, habitacle et finitions de la Bugatti Type 40

Le dessin de la Type 40 est typiquement Bugatti : une calandre en fer à cheval, des lignes tendues et une élégance contenue. La carrosserie est majoritairement réalisée en aluminium, mais certains exemplaires font appel à des carrossiers indépendants qui y ajoutent leur touche personnelle, allant jusqu’à l’utilisation de tissus de haute qualité, de cuirs rares, ou de peintures bicolores raffinées. L’intérieur privilégie l’essentialité sportive : compteurs analogiques, sièges baquets légers et volant à trois branches en bois précieux. Les accessoires d’époque incluent rarement des radios ou des systèmes de chauffage ; tout est orienté vers le plaisir de conduite pur.

Autres aspects remarquables

La polyvalence de la Type 40 lui a permis d’être carrossée sur mesure par de nombreux ateliers européens de renom dans les années 1920. Elle a également servi de base à différentes adaptations sportives ou de loisir. La simplicité mécanique de la voiture a encouragé l’entretien dans des garages non spécialisés. Son histoire reste associée à la première vague des passionnés qui utilisaient leur Bugatti tant sur route qu’en compétition de club.

Résumé

La Bugatti Type 40 cristallise une époque d’innovation et de transition vers la voiture sportive accessible, dotée d’ingénierie pointue et d’un design unique. Avec des performances remarquables pour son temps, une mécanique issue de la compétition et une production limitée à 830 exemplaires, elle occupe une place singulière sur le marché des automobiles classiques françaises des années 1920.