Ferrari 400 anciennes à vendre
La Ferrari 400, coupé 2+2 raffiné propulsé par un V12, se distingue comme la première Ferrari proposée en version automatique en série. Offrant l’élégance Pininfarina, une mécanique sophistiquée et un confort exceptionnel pour la marque de Maranello, ce modèle conjugue performances, luxe discret et charme du « Grand Tourisme » italien.
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1980 | Ferrari 400i
Manual with Sunroof

1981 | Ferrari 400i
- German Delivered - Dore Metallizzato

1980 | Ferrari 400i
Ferrari 400


1982 | Ferrari 400i
Ferrari 400

1982 | Ferrari 400i
1982 Ferrari 400i '82

Références d'annonces "Ferrari 400" de Classic Trader
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1984 | Ferrari 400i
Ferrari 400i | 1984 | Route 66 Auctions - For sale by auction. Estimate 29500 EUR
1977 | Ferrari 400 GT/4 2+2
Rechtslenker
1978 | Ferrari 400 GT
Ferrari 400
1978 | Ferrari 400 GT
Ferrari 400 Vergaser
1978 | Ferrari 400 GT
FERRARI 400 GT - F101CL 1978
1980 | Ferrari 400i
Ferrari 400 i
Histoire et origine de la Ferrari 400
Présentée en 1976 au Salon de Paris, la Ferrari 400 succède à la 365 GT4 2+2, tout en préservant la philosophie Grand Tourisme de cette lignée. Ferrari mise sur le confort, la polyvalence et une puissance élevée permettant des voyages rapides sur longue distance. Modèle produit jusqu’en 1989, la 400 partage la même base technique que ses devancières et évolue en 400i dès 1979, intégrant une injection Bosch K-Jetronic. Son châssis signé Pininfarina affiche des lignes tendues et sobres, résolument orientées « voyage à grande vitesse » dans le plus pur style des années 70 et 80. Avec ses quatre places véritables et son vaste coffre, la 400 incarne l’art du voyage automobile à l’italienne, distinguant Ferrari sur le segment du coupé familial de prestige.
Évolution et déclinaisons du modèle
La 400 naît comme 400 GT en 1976, motorisée par un V12 de 4,8 litres développant dans ses versions les plus performantes jusqu’à 340 ch. Pour la première fois, un client peut choisir une boîte automatique GM à trois rapports ou opter pour une boîte manuelle à 5 vitesses, plus rare. En 1979, la 400 évolue en 400i avec une injection Bosch, moins de carburateurs, une combustion optimisée et une puissance légèrement revue autour de 310 ch. La production globale de la 400 GT avoisine les 500 exemplaires (dont 147 manuelles, 353 automatiques), celle de la 400i atteint environ 1 305 unités (majorité en automatique). Ces modèles font la transition vers la 412 dès 1985, conservant la philosophie Grand Tourisme à moteur avant et transmission aux roues arrière.
Points forts et caractéristiques remarquables
La Ferrari 400 est pionnière à plusieurs titres : premier modèle routier de la marque à recevoir une boîte automatique en série, elle marie tradition artisanale et avancées technologiques. Son V12 Colombo offre un timbre sonore apprécié des connaisseurs et un agrément de conduite exceptionnel sur longue distance. L’habitacle mêle somptueux cuir, boiseries (notamment sur les séries précoces) et accessoires haut de gamme (climatisation, lève-vitres électriques, téléphone d’époque). La ligne longue et basse signée Pininfarina, les quatre feux arrière circulaires et le confort d’amortissement renforcent la singularité de cette GT. Véritable « sleeper », la 400 est recherchée aujourd’hui pour sa rareté et pour son subtil équilibre entre sportivité et discrétion.
Données techniques
Éditions spéciales et dérivés remarquables
La version équipée de la boîte manuelle à 5 rapports se distingue comme la plus recherchée par les connaisseurs. Les configurations d’intérieur personnalisées (selleries, boiseries racées, accessoires d'époque, couleurs sur mesure) valent mention. Certains exemplaires préservent leur outillage d’origine ou un certificat Ferrari, atout majeur pour les collectionneurs. Aucune série limitée officielle n’est recensée, mais les premières séries à carburateurs et certains coloris rares sont particulièrement prisés.
Moteur, boîte et comportement routier
Le V12 « Colombo » garantit à la 400 une grande disponibilité de couple dès les bas régimes et une montée en régimes soyeuse. Avec jusqu’à 340 ch selon la version, les accélérations sont solides pour l’époque (0-100 km/h en 8 sec en version automatique), mais l’auto privilégie clairement le roulage rapide et feutré sur autoroute. La direction assistée, la suspension indépendante et les freins à disques permettent un contrôle rassurant pour un véhicule de ce gabarit. La boîte automatique (préférée lors de la production) favorise la douceur de conduite, tandis que la boîte mécanique rend l’expérience plus exclusive. Modèles à mettre en avant : Ferrari 400 GT manuelle (147 ex.), Ferrari 400i, versions à configuration intérieure personnalisée, coloris d’époque et versions conservant outillage et documentation d’origine.
Design extérieur et intérieur, équipements et accessoires
Sous la plume de Pininfarina, la 400 revendique des proportions marquantes : capot long, pavillon effilé, quatre feux arrière et chrome discret. Matériaux premium : cuir pleine fleur sur la quasi-totalité des surfaces, boiseries en ronce de noyer (notamment sur Série 1). Climatisation, lève-vitres électriques, options audio Blaupunkt ou Philips, volant gainé de cuir, tapis spécifiques : tout est pensé pour le confort. Les teintes extérieures varient du classique « Rosso Corsa » jusqu’aux bleus, verts ou gris sophistiqués. L’habitacle privilégie l’espace et la luminosité, avec une ergonomie soignée pour quatre vrais passagers. La modularité du coffre complète le tout, permettant une vraie utilisation au quotidien ou lors de longs trajets.
Autres informations et usages distinctifs
Grâce à son statut d’ancien (exempt de taxes routières dans plusieurs pays européens), la Ferrari 400 se présente comme une voiture idéale pour les rallyes de classiques et les grands événements. Sa rareté en fait un choix d’initié, d’autant plus que nombre d’exemplaires disposent d’une histoire complète (certificats, carnet d’entretien, historique Ferrari). L’accompagnement par des spécialistes pour la maintenance est vivement conseillé afin de pérenniser cette mécanique exigeante.
Résumé
La Ferrari 400 demeure une proposition unique sur le marché des GT classiques : V12 mélodieux, confort princier, carrosserie signée Pininfarina et rareté font d'elle une voiture à part pour amateurs de distinction italienne. Son histoire, sa faible diffusion et son image d’élégance subtile la rendent précieuse dans tout garage d’esthète automobiliste.






