1970 | Porsche 911 2.2 T

Porsche 911 2.2 T – La tentation verte de Zuffenhausen

Il y a des voitures que l’on conduit pour aller d’un point A à un point B.
Il y a des voitures que l’on conduit pour être vu.
Et puis il y a cette Porsche 911 2.2 T – une voiture que l’on ne conduit pas, que l’on célèbre.

Année 1970. La Beatlemania s’essoufflait, les Rolling Stones étaient immortels, et à Zuffenhausen, on lançait la deuxième évolution de la 911 légendaire : la 2.2 T. 125 ch issus d’un six-cylindres à plat refroidi par air, qui rugit comme s’il descendait directement du ciel. Déjà à l’époque une voiture d’exception – aujourd’hui une icône roulante.

Histoire – Plus qu’une voiture, une époque
La 911 2.2 T était le « gentleman » des voitures de sport. Pas un monstre uniquement taillé pour la piste, mais une voiture avec laquelle on pouvait aller chercher le pain le matin – et grimper les cols alpins le soir, juste pour écouter son écho dans les virages. Cet exemplaire ? Sans accident, restauré dans le strict respect de l’origine, et dans une teinte si délicieusement seventies que même John Player Special en aurait été jaloux – Vert Irlandais.

Carrosserie – La perfection en acier
Aucun mastic caché, aucun compromis. Reconstruction complète avec des pièces Porsche d’origine, ajustements parfaits, traitement anticorrosion, céramique avec garantie 7 ans (plus longue que bien des relations). Les jantes Fuchs d’origine brillent à tel point qu’on hésite presque à les poser sur l’asphalte.

Moteur & boîte – Un cœur neuf
Le flat-six de 2,2 litres a été totalement démonté et reconstruit selon les spécifications d’origine. Pas de pièces bon marché, pas de bricolage – chaque élément restauré ou remplacé par de l’authentique. Idem pour la boîte de vitesses. L’ensemble ? Aussi précis qu’une montre suisse après trois expressos.

Habitacle – Sobriété et artisanat
L’intérieur entièrement refait ne laisse aucun doute : ici on ne s’assoit pas, on trône. Sobre, sportif, sans compromis. Pas d’écrans inutiles, pas d’assistances qui gâchent le plaisir. Juste toi, le volant, et quelques cadrans qui indiquent combien d’adrénaline coule dans tes veines.

Conclusion – Bien plus qu’un placement
Cette Porsche dispose d’une immatriculation historique, d’un contrôle technique récent, d’une note Classic Data de 1 – et d’une documentation photographique prouvant qu’il s’agit d’une restauration célébrée, pas seulement exécutée. L’acheteur n’acquiert pas seulement une voiture. Il achète un billet d’entrée dans l’âge d’or du sport automobile.

Et franchement : si tu hésites, autant prendre un Golf Cabriolet.