Triumph Dolomite voitures anciennes à vendre
La Triumph Dolomite se distingue par sa conception technique avancée et un style typiquement britannique. Produite de 1972 à 1980, cette berline sportive représentait l’ambition de Triumph de rivaliser avec les références allemandes, tout en offrant une mécanique raffinée et un confort inattendu dans ce segment. Découvrez ci-dessous son histoire et les caractéristiques qui la rendent unique.
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1977 | Triumph Dolomite Sprint
NON CHIAMATELA DOLLY

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1980 | Triumph Dolomite Sprint
1980 Triumph Dolomite Sprint
1974 | Triumph Dolomite Sprint
1974 Triumph Dolomite Sprint
1974 | Triumph Dolomite Sprint
Rennwagen
1979 | Triumph Dolomite Sprint
1940 | Triumph Dolomite 14/60
1940 Triumph Dolomite 14/65 Roadster
1980 | Triumph Dolomite Sprint
LHD very original and stunning looking
1990 | Triumph Dolomite Sprint
TRIUMPH Dolomite Sprint
1978 | Triumph Dolomite Sprint
1978 Triumph Dolomite Sprint
1975 | Triumph Dolomite
1850 TC
1990 | Triumph Dolomite Sprint
TRIUMPH Dolomite Sprint
1978 | Triumph Dolomite Sprint
1978 Triumph Dolomite Sprint
Histoire et origines de la Triumph Dolomite
La Triumph Dolomite a vu le jour en 1972 dans le contexte d’une repositionnement de la gamme Triumph sur le segment des berlines compactes sportives. Elle succède aux modèles Toledo, 1300 et 1500, intégrant la carrosserie allongée de la 1500 mais une architecture principalement empruntée à la Toledo à propulsion. Présentée initialement au Salon de l’Automobile de Londres en 1971, sa commercialisation commence après des retards dus à des mouvements sociaux à l’usine de Canley. Fait notable, le nom 'Dolomite' avait déjà été employé avant la Seconde Guerre mondiale mais n’avait jusqu’ici jamais été associé à une voiture entièrement neuve.
Evolution de la gamme Dolomite
Introduite pour redynamiser la gamme compacte de Triumph, la Dolomite est produite uniquement en version berline quatre portes. Son développement intègre des évolutions techniques et cosmétiques mineures au fil du temps. En 1973, la version Sprint est lancée avec un moteur 16 soupapes novateur ; il s’agit d’un jalon important pour les voitures de série anglaises de l’époque. En 1980, la production cesse et le modèle laisse place à la Triumph Acclaim.
Particularités de la Triumph Dolomite
La Dolomite se démarque par une dotation généreuse pour sa catégorie : tableau de bord complet avec horloge et nombreux instruments, désembuage arrière, allume-cigare, et option d’overdrive ou boîte automatique. La version Sprint intègre un moteur 2.0 16 soupapes de 127 ch conçu par Lewis Dawtrey, le premier du genre sur un modèle de série, avec une distribution innovante et un système d’entraînement par chaîne. Elle bénéficie de jantes alliage, d’un toit vinyle, d’un spoiler avant distinctif et d’une finition intérieure en velours et ronce de noyer. Les freins renforcés et la transmission issue de modèles sportifs Triumph confirment le positionnement haut de gamme et performant de la Sprint.
Données techniques
Éditions spéciales et modèles de collection
La Dolomite SE de 1979 est une série limitée remarquable, reconnaissable à sa carrosserie noire, sa bande argentée latérale floquée SE, ses sièges en velours, et son tableau de bord en bois. Elle fut produite à uniquement 2163 exemplaires. La Dolomite Sprint, quant à elle, se distingue par son moteur 16 soupapes et ses équipements sportifs, en faisant un jalon technique et une déclinaison recherchée.
Moteurs, transmission et dynamisme routier
La Dolomite existe avec diverses motorisations à quatre cylindres, dont le célèbre 2,0 L 16 soupapes de la Sprint (127 ch), reconnu pour ses performances inhabituelles pour une berline de cette classe, mais aussi pour son entretien pointu. Le modèle Sprint offre un 0 à 100 km/h en un peu plus de 11 secondes et atteint 170 km/h. L’overdrive électrique réduit le régime moteur sur longs trajets et la boîte automatique apporte du confort. Les améliorations des freins et de la suspension sur la Sprint garantissent un comportement dynamique pour l’époque. La Dolomite Sprint a également marqué la compétition dans le British Touring Car Championship entre 1974 et 1978. Toutefois, pour les rallyes, la caisse trop lourde et une fiabilité mécanique perfectible ont limité son succès. 1. Triumph Dolomite Sprint - Moteur 2.0L 16V, 127 ch, boîte Stag/Overdrive, spécificités techniques de haut niveau. 2. Triumph Dolomite SE - Série limitée, finition luxe, équipements spécifiques.
Intérieur, confort et design extérieur
Dessinée par Giovanni Michelotti, la Dolomite arbore une ligne élégante, accentuée sur la Sprint par un toit vinyle noir, des jantes alliage et un spoiler avant. L’intérieur est soigné, avec moquette, sièges velours, ronce de noyer sur le tableau de bord et éléments chromés. Les éditions SE affichent une bande argentée et une peinture noire distinctive. Parmi les équipement et accessoires, on note la disponibilité d’une boîte automatique ou d’un overdrive, ainsi que des options de confort avancées pour la période.
Autres particularités
Le bloc-moteur de la Sprint fut également utilisé dans la Triumph TR7. Côté compétition, la Dolomite Sprint a prouvé sa modernité et ses capacités techniques dans les courses de voitures de tourisme britanniques au milieu des années 1970.
Résumé
La Triumph Dolomite symbolise le savoir-faire technologique de Triumph durant les années 1970 avec une berline compacte et sportive qui a su inaugurer le moteur 16 soupapes en grande série. Entre ses versions standard raffinées et les exécutions sportives Sprint et SE, elle séduit par son caractère affirmé, son confort soigné et des performances remarquables pour la période.

